La recherche d’une « technique de vie » nous impose une meilleure connaissance de l’enfant et de l'homme. Or cette connaissance n’est pour nous un « aliment digéré » que si elle s’appuie sur des faits. Elle peut certes venir d’autrui, et fort heureusement, mais nous désirons connaître les faits observés qui ont conduit à échafauder une théorie