Cela s’est passé soudainement dans ma grande section, en milieu d’année. Des enfants sont venus se plaindre, de camarades qui avaient «dit des gros mots». Il s’agissait parfois de propos tenus avec la volonté évidente de blesser, mais aussi de paroles échappées par inadvertance. Malgré ma protestation, ces cas isolés ouvraient la porte à leur emploi dans la classe. Ce problème, médiatisé par le conseil, devait forcément trouver une solution collective.