«Nous stagnons, car depuis la disparition de Célestin Freinet, le mouvement n'a plus rien inventé !» Voilà une affirmation entendue il y a peu de temps et qui évoque pour nous l'image d'un navire qui, privé de gouvernail et de commandant, avancerait au hasard des vents et des courants pour aller soit s'échouer sur quelque récif, soit tout simplement s'arrêter au milieu de l'océan pour attendre là, grande carcasse inerte, l'anéantissement. Non !