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Light-painting

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Light-painting, essais et expressions partagées

Les collégiens travaillent aussi sur le déplacement en profondeur (spirales). Ce sont eux qui pensent à éclairer leur visage avec leur téléphone.

La part des adultes est minime et essentiellement technique. Les enfants cherchent, testent les éclairages, les gestes en observant les productions précédentes. Un des avantages par rapport à la peinture par exemple, c'est l'instantanéité du résultat, pas de séchage, pas de pinceau. Il y a aussi un gros effort d'imagination : on voit "dans sa tête" seul ou à plusieurs une image, et il faut la "fabriquer" dans le noir sans contrôler directement ce que l'on fait.

Déception ou joie sont au rendez-vous selon que le résultat corresponde ou non aux attentes. Avantage, on peut facilement recommencer. Certains passent de bons moments à s'entraîner. Ils travaillent beaucoup le geste, le déplacement. Bien sûr pas mal de ratés au début : on est vraiment dans le tâtonnement expérimental.

 Les productions sont exposées à la bibliothèque, puis à l’école, au collège

et enfin au Congrès de l' ICEM à Aix en août 2015.

 

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